Quels sont les signes annonciateurs ? Troubles du sommeil, irritabilité, baisse de la vigilance, manque d'appétit, diminution de la performance...

 

* La fatigue physique: prédominante le soir ou en fin de journée. Vous avez toujours envie de vous entraîner, mais la fatigue empêche l'entraînement souhaité.

* La fatigue psychique pédominante le matin, elle s'amenuise au fil de la journée. Vous éprouvez tout simplement une grande lassitude et vous n'avez plus envie de vous entraîner.

 

* Vous êtes fatigué physiquement: réduisez la charge d'entraînement.

* Pour les problèmes psychiques, vous devrez plutôt prendre du recul, vous changer les idées et pratiquer une activité synergique d'endurance telle que vélo, natation, marche.

Dans les deux cas, la persistance des signes implique de consulter son médecin qui corrigera une éventuelle carence (anémie par manque de fer par exemple) ou décèlera un éventuel problème inflammatoire ou infectieux.

 

Les méthodes anti-stress

Si malgré un entraînement intelligemment mené (alimentation, étirements, juste dosage des kms...), vous êtes particulièrement angoissé par l'épreuve qui vous attend, une préparation psychologique, type relaxation, sophrologie, pourra vous aider.

 

Préparation psychologique, pourquoi ?

"La volonté cède toujours le pas de l'imaginaire" (E. Coué). En sport, l'image de l'échec est parfois plus forte que la volonté de vaincre. La préparation psychologique visera à lever les tensions et à positiver l'imaginaire.